Le Beverley : le dernier cinéma porno français ferme ses portes
Posté par Yuki
Le Beverley, le dernier cinéma porno de Paris et de France, ferme définitivement ses portes. Maurice Laroche, propriétaire du dernier cinéma pornographique de Paris a annoncé la fermeture de son célèbre établissement. C'était la dernière séance. Le Beverley, dernier cinéma pornographique de Paris, a fermé ce samedi 16 février 2019 lors de la dernière "soirée couple".
Le Beverley a été vendu à un promoteur immobilier qui se retrouve avec les 90 fauteuils en skaï rouge du cinéma, mais aussi deux cents films sur pellicules de 35 mm pour la modique somme de 50 euros.
Situé 14, rue de la Ville Neuve dans le IIe arrondissement, non loin du Grand Rex et en plein quartier historique des salles X, le Beverley attire désormais "470 clients par semaine contre 1 500 il y a vingt ans", raconte Maurice Laroche, qui quitte Paris pour s'installer à Royan avec le fruit de sa vente.
Âgé de 75 ans, il regrettera clients et l’ambiance chaleureuse qui régnait au Beverley lorsque certains spectateurs arrivaient avec une bonne bouteille, d’autres avec du fromage d’Auvergne que nous partagions en toute simplicité". Il conclut, nostalgique: "Ici, on parlait de tout, sauf de politique". Tu m’étonnes !
Le Beverley a été vendu à un promoteur immobilier qui se retrouve avec les 90 fauteuils en skaï rouge du cinéma, mais aussi deux cents films sur pellicules de 35 mm pour la modique somme de 50 euros.
Situé 14, rue de la Ville Neuve dans le IIe arrondissement, non loin du Grand Rex et en plein quartier historique des salles X, le Beverley attire désormais "470 clients par semaine contre 1 500 il y a vingt ans", raconte Maurice Laroche, qui quitte Paris pour s'installer à Royan avec le fruit de sa vente.
Âgé de 75 ans, il regrettera clients et l’ambiance chaleureuse qui régnait au Beverley lorsque certains spectateurs arrivaient avec une bonne bouteille, d’autres avec du fromage d’Auvergne que nous partagions en toute simplicité". Il conclut, nostalgique: "Ici, on parlait de tout, sauf de politique". Tu m’étonnes !
